Comme nous l’avons déjà écrit, Katmandou fut pour nous une agréable surprise. Non seulement on y découvre l’architecture grandiose des Newars, mais c’est aussi une ville très riche dans sa vie quotidienne et à taille humaine, ce qui est un soulagement après les mégalopoles indiennes (et avant celles de la côte chinoise…). Enfin, Katmandou a su rester à l’abri de l’uniformisation des capitales du monde.
Au coeur du réseau commercial qui reliait l’Inde à l’Asie centrale, mais également sur la route du pèlerinage conduisant au lieu de naissance de Bouddha, Katmandou offre un bon aperçu des multiples cultures qui participèrent à ces échanges (indo-népalais, tibéto-népalais, newars, etc.): en témoignent les temples hindouistes, pagodes bouddhistes et autres monastères tibétains que l’on croise sur la route.
Quant à l’animation humaine, malgré les pénuries énergétiques (gaz, pétrole et électricité) du moment, la vie quotidienne suit son cours .
Ouvrez les yeux!
